07 mai 2006
voici un petit resume pour commencer
L’histoire commence à Saint-Fiacre ou Maigret est arrivé la veille en urgence après avoir découvert au Quai des Orfèvres une lettre anonyme, annonçant l’assassinat de la comtesse pendant la première messe du jour des morts (la Toussaints) à Saint-Fiacre. C’est le village ou Maigret a passé son enfance, son père était régisseur du château de la comtesse de Saint-Fiacre. Mais le matin même lors de la messe des morts, à laquelle Maigret assiste, la comtesse meurt d’une crise cardiaque. Le commissaire découvre rapidement que cette mort a été provoquée. L’arme était un bout de papier, et oui, la comtesse avait des problèmes de cœur, une émotion vive l’aurait tuée. Maigret trouve, dans le missel de la comtesse, un extrait du Journal de Moulins annonçant la mort de Maurice de Saint-Fiacre, fils de la châtelaine. Or ce dernier, vient juste d’arriver à Saint-Fiacre, pour demander de l’argent à sa mère, ce qui lui permettrait de rembourser ses dettes. L’enquête commence. Maigret retrouve de vieilles connaissances et rencontre les nouveaux habitants de son petit village. Ce dernier a bien changé en 35 ans. Maigret le redécouvre petit à petit, de même que ses souvenirs si lointains. Son enquête le mène au château ou il rencontre le « secrétaire-amant » de la comtesse qui se sent tout de suite soupçonné par Maigret et appelle un avocat. Le commissaire rencontre aussi le nouveau régisseur du châteaux et son fils. Il se rend à Moulins pour y rechercher l’imprimerie où aurait été tapé l’arme du crime. Mais cela n’abouti à rien.
Maurice de Saint-Fiacre, nouveau propriétaire du château (très soupçonné par le lecteur) organise une soirée dans sa nouvelle demeure. Il y invite tous les personnages pouvant être suspects, on y retrouve donc: Maurice, Jean Métayer (secrétaire-amant), le médecin, le régisseur monsieur Gautier, son fils Emile Gautier, le curé et Maigret. Au milieu de la soirée Maurice propose un « jeu », il demande à toutes les personnes présentes de se réunir autour de la table sur laquelle il y a un pistolet (désarmé). A tour de rôle ils s’accusent les uns les autres jusqu’à ce que Jean Métayer s’auto dénonce en s’emparant de l’arme.
En effet Jean Métayer avec la complicité de son père essayait de racheter toutes les terres que la comtesse vendait pour survivre et pour payer la vie de luxe que menait son fils.
L’histoire commence à Saint-Fiacre ou Maigret est arrivé la veille en urgence après avoir découvert au Quai des Orfèvres une lettre anonyme, annonçant l’assassinat de la comtesse pendant la première messe du jour des morts (la Toussaints) à Saint-Fiacre. C’est le village ou Maigret a passé son enfance, son père était régisseur du château de la comtesse de Saint-Fiacre. Mais le matin même lors de la messe des morts, à laquelle Maigret assiste, la comtesse meurt d’une crise cardiaque. Le commissaire découvre rapidement que cette mort a été provoquée. L’arme était un bout de papier, et oui, la comtesse avait des problèmes de cœur, une émotion vive l’aurait tuée. Maigret trouve, dans le missel de la comtesse, un extrait du Journal de Moulins annonçant la mort de Maurice de Saint-Fiacre, fils de la châtelaine. Or ce dernier, vient juste d’arriver à Saint-Fiacre, pour demander de l’argent à sa mère, ce qui lui permettrait de rembourser ses dettes. L’enquête commence. Maigret retrouve de vieilles connaissances et rencontre les nouveaux habitants de son petit village. Ce dernier a bien changé en 35 ans. Maigret le redécouvre petit à petit, de même que ses souvenirs si lointains. Son enquête le mène au château ou il rencontre le « secrétaire-amant » de la comtesse qui se sent tout de suite soupçonné par Maigret et appelle un avocat. Le commissaire rencontre aussi le nouveau régisseur du châteaux et son fils. Il se rend à Moulins pour y rechercher l’imprimerie où aurait été tapé l’arme du crime. Mais cela n’abouti à rien.
Maurice de Saint-Fiacre, nouveau propriétaire du château (très soupçonné par le lecteur) organise une soirée dans sa nouvelle demeure. Il y invite tous les personnages pouvant être suspects, on y retrouve donc: Maurice, Jean Métayer (secrétaire-amant), le médecin, le régisseur monsieur Gautier, son fils Emile Gautier, le curé et Maigret. Au milieu de la soirée Maurice propose un « jeu », il demande à toutes les personnes présentes de se réunir autour de la table sur laquelle il y a un pistolet (désarmé). A tour de rôle ils s’accusent les uns les autres jusqu’à ce que Jean Métayer s’auto dénonce en s’emparant de l’arme.
En effet Jean Métayer avec la complicité de son père essayait de racheter toutes les terres que la comtesse vendait pour survivre et pour payer la vie de luxe que menait son fils.
06 mai 2006
05 mai 2006
Administration
On s'excuse pour avoir laissé traîner la pub d'avant...
Mais on avait eu besoin de ces infos pour finir notre tâche...
Au fait, demain a lieu le festival de la culture africaine.
Ca vous dirait de... ne pas venir ?
On blague...
Sachez qu'on participe à l'organisation de cet événement important pour l' UNICEF pendant les 2 jours (et nuits).
Donc notre oral de lundi ne sera pas très brillant...
Très cordialement,
Ted & Ray.
Mais on avait eu besoin de ces infos pour finir notre tâche...
Au fait, demain a lieu le festival de la culture africaine.
Ca vous dirait de... ne pas venir ?
On blague...
Sachez qu'on participe à l'organisation de cet événement important pour l' UNICEF pendant les 2 jours (et nuits).
Donc notre oral de lundi ne sera pas très brillant...
Très cordialement,
Ted & Ray.
Fiche d'information
titre : L’Affaire Saint-Fiacre
auteur : Georges Simenon
Administration
Copier-coller un article sur Internet n'a évidemment aucun intérêt.
Aucun intérêt
ni pour votre blog,
ni pour l'évaluation de votre travail sur cette séquence,
ni (surtout !) pour vous-mêmes.
À propos de Simenon
Georges Joseph Christian Simenon est né à Liège (Belgique) le 12 février 1903 et mort à Lausanne (Suisse) le 4 septembre 1989. D'abord journaliste, auteur sous différents pseudonymes de romans populaires, il créa en 1931 le personnage de Maigret qui le rendit universellement célèbre. Il publia sous son nom plus de 200 romans, 155 nouvelles et 25 textes autobiographiques.
Entre 1923 et 1924, le jeune Simenon est au service du marquis de Tracy. Il séjourne à plusieurs reprises au château de Paray-le-Frésil, qui lui inspire l'atmosphere de L'Affaire Saint-Fiacre. De même, le régisseur du château — Tardivon — avec lequel il entretient des relations sympathiques, lui servira plus tard de modèle pour le père de Maigret.
Le livre contient les personnages chers à Simenon : des jeunes gens, peu honnêtes ; des femmes qui le sont encore moins ; les campagnards méfiants. Sans oublier le médecin de campagne bourru et mécréant, doté d’une épouse bigote ; le curé tourmenté ; l’avocat jovial, abusant du vin. Les livres de Simenon ne sont pas faits pour engendrer la bonne humeur ; ses études de caractère décrivent une nature humaine aussi peu amène que possible.
Entre 1923 et 1924, le jeune Simenon est au service du marquis de Tracy. Il séjourne à plusieurs reprises au château de Paray-le-Frésil, qui lui inspire l'atmosphere de L'Affaire Saint-Fiacre. De même, le régisseur du château — Tardivon — avec lequel il entretient des relations sympathiques, lui servira plus tard de modèle pour le père de Maigret.
Le livre contient les personnages chers à Simenon : des jeunes gens, peu honnêtes ; des femmes qui le sont encore moins ; les campagnards méfiants. Sans oublier le médecin de campagne bourru et mécréant, doté d’une épouse bigote ; le curé tourmenté ; l’avocat jovial, abusant du vin. Les livres de Simenon ne sont pas faits pour engendrer la bonne humeur ; ses études de caractère décrivent une nature humaine aussi peu amène que possible.
04 mai 2006
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